Le pays des Herbiers (85)

  Beaurepaire




Beaurepaire se développe autour d’une maison de chasse, le Grand Logis, construite au XIIe siècle par les vicomtes de Thouars, au bord de deux immenses étangs. Gille de Rais, le Barbe bleue de la légende, devient seigneur de Beaurepaire en épousant une fille du dernier vicomte de Thouars. Au XVIe siècle, les Girards, nouveaux seigneurs de Beaurepaire, construisent leur château. 
 En 2006, la commune de Beaurepaire a servi de décor au tournage du clip Louxor J'adore de Philippe Katerine.
(Source Wikipédia)



L'étang au canards :









La Rabatelière




Le sanctuaire a été construit en 1887 à l'initiative de l'abbé Hillairet, curé de la Rabatelière, sur un terrain appartenant au comte de la Poëze, propriétaire du château de La Rabatelière. Il est composé de trois édifices : le monument à Notre-Dame de la Salette, le rosaire et le monument à la Croix de Jérusalem. (Source : Wikipédia)











Mesnard-La-Barotière



www.mesnard-la-barotiere.fr

La Barotière, connue dès le XIIe siècle, a été la résidence des seigneurs locaux, les Barroteau puis les Mesnard au XVIIe siècle. Du château ancien, détruit pendant la Révolution, seuls subsistent une vieille tour en brique et un bâtiment de communs attenant à la chapelle. L'ancienne église des XIIe et XIVe siècles, abandonnée au XIXe siècle, a retrouvé une nouvelle vie depuis la récente découverte de fresques murales entièrement remises au jour. La seconde édifiée à la fin du XIXe siècle, sur les fonds privés des comtes de Mesnard, est le symbole de l'emprise de cette famille sur la commune tout au long du XIXe siècle et au début du XXe siècle. La cité, essentiellement agricole, voit aussi son avenir dans le tourisme, avec l'aménagement de la base de loisirs du lac de la Tricherie.(Source Wikipédia)


Ancien Asile :






Lac de la Tricherie :





Mouchamps



www.mouchamps.com/

Juché sur un escarpement rocheux, Mouchamps domine la rivière du Petit-Lay.
La présence préhistorique est attestée par la découverte de silex et de haches polies au lieu-dit "La Verrie".
L'ancienne église paroissiale, abandonnée au XVIe siècle en ruine, a complètement disparu. Elle a été remplacée par l'église actuelle, ancienne chapelle du château-fort, construite au XIIe siècle. Autour d'elle s'élevait une forteresse, fief des puissants seigneurs du Parc-Soubise, les Lusignan, les Parthenay, puis les Rohan. Son temple témoigne de l'existence d'une communauté protestante "héritière" de l'engagement des mêmes seigneurs dans la Réforme, au XVIe siècle, entraînant une part de la population mouchampaise avec eux. Quelques vieilles maisons, qui ont conservé des éléments d’architecture Renaissance, dispersées dans le bourg et les villages, illustrent l’apogée économique de la commune à la fin du XVIe siècle et au début du XVIIè siècle. (Source Wikipédia)


Tombeau de George Clémenceau :





Vue du village :




Vendrennes


Le vieux château de Vendrennes fut le siège de la châtellenie de Vendrennes annexée à la baronnie voisine de Mouchamps, relevant de l'immense vicomté de Thouars. Cette châtellenie couvrait pratiquement toute la paroisse. Elle naquit du défrichement de l'antique forêt de "Vendrina".
Vendrennes se situe au cœur du pays insurgé en 1793 contre la République. On y dénombra environ 82 maisons brulées en 1794. En 1809, 40 bâtiments étaient reconstruits. La dépopulation fut considérable avec environ 800 habitants vers 1790 et 336 en 1801. Parmi les grands massacres, on retiendra celui du Parc (commune voisine de Mouchamps), le 30 janvier 1794, et à Vendrennes le 21 février 1794. Le comité royaliste de la paroisse comprenait Savarit, maire et garde-chasse, Chataignier, maréchal, Michenaud. François Petit fut capitaine de paroisse, né à Vendrennes hameau de la Touche-Boudaud en octobre 1772, fils du bordier François Petit et de Marie-Anne Guignard tuée par les Républicains le 4 février 1794. François épousa la fille d'un maréchal et fut lui-même maréchal-ferrant à la Touche. Il mourut en 1827 maire de Vendrennes et son fils épousa une fille Boisson en 1829.
La cité tient aussi sa renommée de la fameuse brioche vendéenne. (Source Wikipédia)

 

Parc de Soubise et son château :















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