La Chapelle Largeau
L'histoire de la Chapelle-Largeau commence au Vème siècle avec le développement de l'évangélisation. Dans l'ouest de la France, les gens éparpillés se regroupent en "Chapelles" pour prier. Peu à peu, ces lieux de culte deviennent aussi centres d'habitation, des "Capellas" qui vont se retrouver sous l'autorité de centres plus importants, les "Abbayes" dépendant la plupart du temps, d'un domaine seigneurial.
En 1246 "Capella" : prieuré dépendant de l'Abbaye de la Trinité fondée par les seigneurs de Mauléon.
En 1269 "Capella Largea" : allusion au nom du premier prieur du Prieuré de La Chapelle-Largeau
En 1283 "Capella Largea" devient "Capella Largeau"
En 1300 "Capella Largent" - "Notre Dame de la Chapelle Lorgeail"En 1434 "La Chapelle Largeault"
En 1835, un détachement important de la commune de Treize-Vents fut attribué à la Chapelle-Largeau, partie longeant la Sèvre Nantaise et le hameau de la Croix Beaupuy , dénommé aujourd'hui, La Trique. (Source Site de Mauléon)
Chapelle :
Le Temple
Au bord de la route qui mène à Mauléon, on peut admirer un magnifique chêne séculaire, situé dans la côte dite "des Bois". La commune à longtemps abrité une mine d'uranium, aujourd'hui fermée.
La commanderie des templiers :
Fondée au XIIe siècle. De l'ancienne Commanderie, il reste seulement une partie des bâtiments (visite extérieure seulement).
Moulins
Moulins existerait depuis un millier d'années ou peut-être plus. Des vestiges romains ont été trouvés à la Barbinière, à environ 3 kilomètres du centre-bourg. La paroisse fut pillée a plusieurs reprises à la fin du XVIe siècle. Elle fut aussi brûlée par le général Boucret durant les guerres de Vendée en 1794.
La commune tire son nom de la présence de nombreux moulins à sa
périphérie. Aucun de ces moulins ne fonctionne encore, cependant les
constructions restent visibles.
Moulins, rejoint l'association des « communes associées du Grand-Mauléon » en 1973.
(Source Wikipédia)
Le bois et les Rochers de Pyrôme :
L'accès au site de Pyrôme se fait par
Moulins bien que le site appartienne à La Chapelle-Largeau, un village avoisinant. Cet endroit est un site boisé ou l'on peut admirer un empilement de rochers de Quarts blanc. Cet assemblage est au centre d'une légende mettant en scène des farfadets et un diable.
La Bambina :
(Copie de la statue Italienne du même nom)
Saint-Aubin de Baubigné
Le patrimoine de la commune riche et divers s'est façonné tout au long des siècles, au gré des différents évènements historiques : les mystérieux rochers des Vaulx, les vestiges du château des Seigneurs de la Durbelière (Château ouvert au public), de la Saulaie, de la Sevrie et de la Cantinière, les terribles combats des Ouleries de Mars 1794 avec sa croix commémorative (point culminant de Saint Aubin de Baubigné), l'église et son clocher, le tombeau de la famille de la Rochejacquelein. Les évènements des guerres de Vendée ont révélé un enfant du pays : Henri de la Rochejacquelein, nommé Généralissime de l'armée Catholique et Royale. (Source Site de Mauléon)
Château de la Durbelière (XVe) :
Statue d'Henri de la Rochejaquelein :
La statue d'Henri de la Rochejaquelein
fut érigée en 1895, en mémoire du héros des contre-révolutionnaires,
nommé général à l’âge de 20 ans. « Monsieur Henri », comme aimaient
l’appeler ses soldats fut, tué à Nuaillé,
près de Cholet le 28 janvier 1794. Il avait 22 ans. Sur le socle de la
statue est gravée la célèbre harangue qu’on lui attribue : « Si j’avance, suivez-moi, si je recule tuez-moi, si je meurs vengez-moi ». Ces mots, il les aurait prononcés dans la cour du château de la Durbelière
devant 2 000 soldats paysans venus le supplier de se mettre à leur tête
pour défendre leur Dieu et leur roi en combattant la République naissante qui avait décrété à la Constituante la confiscation des biens d’église, la constitution civile du Clergé et la levée en masse de 300 000 soldats pour défendre les frontières menacées.
(Source wikipédia)
(Source wikipédia)
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